Jacques Frantz s’interroge sur la santé de Donald Trump, cible de rumeurs après un hématome à la main et plusieurs absences. Entre soupçons d’attentats, inquiétudes de ses partisans et hostilité des «États profonds», l’essayiste estime que le président américain affronte bien plus qu’un simple enjeu médical.
Un hématome important à la main, une absence prolongée, il n’en fallait pas plus pour que la rumeur sur l’état de santé du président Donald Trump circule à fond sur les réseaux sociaux. On notera à toutes fins utiles que l’État profond américain a tout fait pour réduire au silence tout questionnement sur l’état de santé de Joe Biden. Mieux ! Qui osait s’interroger sur les errements intellectuels du 46e président des États-Unis était immédiatement qualifié de factieux, de complotiste ou que sais-je encore.
Pourtant, les internautes n’ont pas tort de s’interroger sur la santé de Trump. Il est normal qu’un presque octogénaire ait des soucis de santé. Encore que Trump soit dans une forme exceptionnelle, comme en témoignent les trois campagnes qu’il a menées tambour battant, contre une seule menée par Biden depuis le sous-sol de sa maison du Delaware.
Mais il y a autre chose qui ne laisse pas de préoccuper les partisans du locataire de la Maison Blanche : les États profonds mondialistes rêvent de forcer le destin pour que Donald Trump n’achève pas son mandat.
À l’été 2024, Trump a échappé à au moins deux tentatives d’attentat. Sitôt en fonction, son ami Netanyahou lui a offert deux bipeurs en or, semblables à ceux qui avaient été sabotés pour tuer un certain nombre de cadres du Hamas et du Hezbollah. Certains esprits mal tournés ne manqueront pas d’y voir davantage les manières d’un parrain de la mafia que celles du Premier ministre d’un État démocratique. Passons. Cependant, il ne fait aucun doute que le message a été reçu cinq sur cinq.
Par conséquent, il faudra surveiller de près l’état physique du président des États-Unis, car l’observateur averti ne serait pas étonné qu’un pépin de santé ou un accident, si vite arrivé, ait raison de celui qui, quoi qu’on en pense, a entrepris de modifier considérablement le cours des événements fixé par des gens qui détestent que les choses aillent autrement qu’ils l’ont décidé.
Des exemples ? La mise au pas de la famille Soros, la tentative de mettre fin à l’invasion migratoire, la levée des tabous wokistes complètement débiles… Et surtout, les gestes impardonnables de conciliation envers le Président Poutine dont les États plus ou moins profonds (Grande-Bretagne en tête) ont juré d’avoir la peau.
Donc oui, Trump est en danger personnellement et physiquement. Mais il n’a entrepris rien de moins que de se mettre à la hauteur du danger que courent les États qui défendent leur souveraineté et leur liberté.
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